Comment analyser une scène d’un film? ‘Drive’
Voici un article qui j’espère sera utile pour beaucoup d’entre vous.
Comment analyser une scène de film ? Quelles sont les clés à avoir ? Comment procéder ?
Voici un article qui j’espère sera utile pour beaucoup d’entre vous.
Comment analyser une scène de film ? Quelles sont les clés à avoir ? Comment procéder ?
À l’heure du coronavirus (covid 19), voici une liste non exhaustive de 20 idées de films à voir durant la période, portant sur le sujet du confinement.
Psychose (1960) / Alfred Hitchcock présente (1955-1960, 1962-1964)
Réflexion autour de l’aspect télévisuel d’un des films les plus cinématographiques de l’Histoire.
Suite à l’annonce sur Deadline: Kellan Lutz, Torrey DeVitto, Ola Rapace, Götz Otto, Christian Hillborg, Ellie Heydon et Brittany Gonzales forment le casting de Divertimento.
‘Twilight’s Kellan Lutz Toplines ‘Divertimento’ Indie Thriller
Suite de l’analyse sur le Terminator, il est conseillé de lire les précédentes analyses, notamment la 1ère et la 3ème qui détaillent l’argumentation technique développée ici pour mettre en évidence le discours sur la technologie associé au genre:
Analyse de la séquence du nightclub dans T1: analyse technique, spiralisation, comment créer le suspense avec le montage principalement, discours sur la technologie
Analyse de la séquence du poste de police dans T1: discours sur la technologie, comment créer la violence sans montrer d’images chocs
Analyse de la séquence du centre commercial dans T2: confirmation de ce qui a été dit pour T1
Analyse de la technologie dans T2: T2 mis en perspective avec 24 heures chrono, deux discours différents mais qui se rejoignent
Retour sur Quantum of Solace, 22ème James Bond, le deuxième avec Daniel Craig et suite directe du phénoménal Casino Royale. Inutile de faire une critique du film, tant il contient des maladresses – mais des atouts aussi -, présentant un Bond en construction qui a perdu son âme alors même qu’il venait de s’affirmer à la toute fin du précédent opus. Trop américain, trop hollywoodien peut-être, en fait trop bournien, Quantum of Salace n’est pas le plus bondien des opus – on regrette le manque d’élégance, de charme, de cohérence, et l’on ne vous parle même pas de l’absence du Bond theme ou de gunbarrel au début, du « Bond, James Bond » coupé au montage, c’est que la recette classique est très mal dosée voire oubliée alors que le précédant en faisait une revisite parfaite. Reste alors l’action, mais l’on préférerait l’original, à savoir Jason Bourne et même bien entendu Permis de tuer, le chef-d’oeuvre de Timothy Dalton, lancée sur une vendetta sanglante. Tout le monde aime Bond, tout le monde justifie la gaffe: le réalisateur pas assez habitué – ou pas du tout même? – aux films d’action, peu fan de la saga, les scénaristes en grève – il faut en effet juger Daniel Craig qui a dû réécrire certaines scènes durant le tournage -, la production qui a misé sur les images de synthèse à gogo – mais moins que chez Avengers. Mais alors, quid de Quantum of Solace, le mal aimé? En analysant le contenu qu’il présente, l’argument du film le fait finalement présenter comme un des Bond les plus modernes. Quantum of Solace, l’épisode paradoxal…
Peter and Claire are two professional burglars on the east coast. On senatorial election night, their mission is to break into a Senator’s villa.
Peter et Claire sont deux cambrioleurs professionnels de la Côte Est. Le soir des élections sénatoriales, leur mission est d’entrer par effraction dans la villa d’un sénateur.